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XXIX. 

Chanson de marin 

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XXX. 

La justice, l’amour, la force, la beauté 

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XXXI. 

Aux champs, vois-tu, tout est content, tout est joyeux 

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XXXII. 

…Ce vieux chêne est si grand 

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XXXIII. 

…Au fond du crépuscule 

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XXXIV. 

Or voici poindre avril. Les bons petits oiseaux 

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XXXV. 

Pleine lune ; ouragan. La mer est en démence 

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XXXVI. 

On voyait aux clartés du soir mystérieux 

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XXXVII. 

Derrière l’horizon les rocs montraient leurs têtes 

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XXXVIII. 

Crépuscule 

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XXXIX. 

Les formes, les aspects sont des spectres qui flottent 

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XL. 

La nuit 

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XLI. 

Tu me vois bon, charmant et doux, ô ma beauté 

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XLII. 

À ma Juliette 

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XLIII. 

Oh ! Comme j’arpentais, sitôt les nuits tombées 

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XLIV. 

Lève-toi, douce opprimée 

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XLV. 

Si tu veux que je te dise 

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XLVI. 

Ce qu’ils nomment, ma bien-aimée 

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XLVII. 

L’amour complète l’âme, et quand son destin change 

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XLVIII. 

Bonne jeunesse ! ô jours charmants ! je vous aimais 

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XLIX. 

À un jeune homme 

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L. 

Ô voyages ! départs quand on avait vingt ans 

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LI. 

Chanson 

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LII. 

Autre chanson 

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LIII. 

Supposez, dans un ciel lugubre et sans limites 

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LIV. 

Dans des trous de grenier, parmi des araignées 

 91

LV. 

Je voulus embrasser Olympe, l’autre jour 

 92

LVI. 

Je me souviens d’avoir connu dans ma jeunesse 

 93

LVII. 

Je vous quitte, ô villes malsaines ! 

 94

LVIII. 

Soyez donc demi-dieu, mage, barde, héros 

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LIX. 

Nuda 

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LX. 

Elle passa devant la boutique du juif 

 98

LXI. 

Jeanne disait : toujours je te serai fidèle 

 99

LXII. 

Ô temps ! Si l’on pouvait dans ton urne profonde 

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LXIII. 

1830 

 102

LXIV. 

Je me souviens du temps de mes illusions 

 103

LXV. 

Et du haut de ma tour, bâtie avec le rêve 

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LXVI. 

Les enfants 

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LXVII. 

À S.-B. 

 106

LXVIII. 

L’homme esclave ! de qui ? De l’homme 

 107

LXIX. 

Et puisqu’il faut qu’on meure après avoir vécu 

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LXX. 

La statue est souvent une sombre ironie 

 109

LXXI. 

Je vous l’ai déjà dit, un soir, sur le chemin 

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