Assez, monsieur ! je sais ce que vous voulez dire. Le titre seul me fait mal aux nerfs.
Et à moi aussi. C’est un livre affreux. Je l’ai là.
Voyons, voyons.
Le Dernier jour d’un…
Grâce, madame !
En effet, c’est un livre abominable, un livre qui donne le cauchemar, un livre qui rend malade.
Il faudra que je lise cela.
Il faut convenir que les mœurs vont se dépravant de jour en jour. Mon Dieu, l’horrible idée ! développer, creuser, analyser, l’une après l’autre et sans en passer une seule, toutes les souffrances physiques, toutes les tortures morales que doit éprouver un homme condamné à mort, le jour de l’exécution ! Cela n’est-il pas atroce ? Comprenez-vous, mesdames, qu’il se soit trouvé un écrivain pour cette idée, et un public pour cet écrivain ?
Voilà en effet qui est souverainement impertinent.
Qu’est-ce que c’est que l’auteur ?
Il n’y avait pas de nom à la première édition.
C’est le même qui a déjà fait deux autres romans… ma foi, j’ai oublié