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CROMWELL.
Qui va là ?
LORD ORMOND.
Cologne. CROMWELL.
White-Hall. Passez.
LORD ORMOND, à part.
Bon !
CROMWELL, regardant les cavaliers qui entrent sous la poterne.
C’est cela.
LORD ORMOND, bas à sir William Murray.
Murray, restez ici pour surveiller cet homme.À Cromwell.
Frère, où trouver Cromwell ? CROMWELL.
Dans la salle qu’on nomme
Chambre-Peinte. LORD ORMOND, à Cromwell.
Nos pas sont par la nuit voilés ;
Mais veillez bien pourtant. CROMWELL.
Soyez tranquille ! — Allez.
LORD ORMOND, avec joie.
Enfin ! — Je touche au but ; et mes vieilles années D’un triomphe complet sont du moins couronnées.
Je tiens Cromwell ! je vais le saisir sous le dais.
Voici l’occasion qu’au ciel je demandais.
Cromwell dort dans ma main ! le ciel me l’abandonne
CROMWELL, à part et le suivant des yeux.
Ce qu’on demande au ciel, l’enfer parfois le donne !Ormond se précipite sous la poterne où tous les cavaliers sont déjà entrés, excepté sir William Murray.