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SYNDERCOMB, tirant sa dague.
Soumettons sa magie à l’épreuve du glaive.En voyant briller le fer, Barebone, qui n’a pu jusque-là se faire entendre, crie avec un nouvel effort.
BAREBONE.
Mais écoutez-moi ! LAMBERT.
Parle.
BAREBONE, effrayé.
Amis, je ne veux pas
Sauver l’Aod anglais d’un trop juste trépas ; Mais on peut le tuer, sans faire un sacrilège,
L’assommer, l’étrangler, l’empoisonner, — que sais-je ?
SYNDERCOMB, remettant son poignard dans le fourreau.
À la bonne heure ! GARLAND, serrant la main de Barebone.
Allons, j’avais mal entendu.
WILDMAN, à Barebone.
À de bons sentiments j’aime à te voir rendu, OVERTON, à Barebone.
Quoique le sang versé soit une faute énorme,Nous n’avons pas le temps de le tuer en forme.
BAREBONE, cédant de mauvaise grâce.
Soit ! comme il vous plaira, poignardez le maudit.À part.
C’est terrible pourtant ! GARLAND.
Le sabre de Judith
Est frère des couteaux qui vont frapper sa tête. Dans l’arsenal du ciel leur place est déjà prête.