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COMÉDIES CASSÉES.
I
LE COLIMAÇON.
— Jeune homme, entends ceci : Pour peu qu’on m’en priât
Je frapperais un coup dans le notariat !
— Vous en êtes un membre auguste.
— Scandalise
Le canton, si tu veux, avec le nom de Lise.
Je vais faire un éclat.
— Lise ?
— Tu la connais. ?
— La belle enfant qui met de si jolis bonnets,
Qui rit dans le soleil comme une mouche heureuse ?
— Justement.
— On dirait une tête de Greuze,
L’Adolescence.
— Un cœur sans ruse et sans apprêts.
C’est tout neuf.
— Et puis ?
— Lise est adorable.
— Après ?