Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Théâtre, tome VI.djvu/386

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

364 MILLE FRANCS ETE RECOMPENSE. LE BARON DE PUENCARRAL, l M. de Pontresme. J’insiste, monsieur le substitut. . . M. DE PONTRESME. Il faut que la justice suive son cours. Les gendarmes se placent à droite et à gauche de Glapieu. Les déclarations de cet homme changent la face de l’affaire. Mais soyez tranq^uille, monsieur le baron. On sera indulgent. On fera ce qu’on pourra. A Glapieu. On vous sauvera peut-être du bagne. On aura égard à beaucoup de choses. . . GLAPffiU. Je n’y tiens pas. J’aime le bord de la mer. Bas à M. de Pontresme. Je vous ai reconnu. Mais pas tout haut. C’était vous le faux nez. Mais vous avez été un bon garçon dans ce boui-boui du Tripot Sauvage. Je n’ai pas voulu vous compromettre. Je vous ai ménagé. Se tournant vers le groupe de Puencarral, d’Edgar Marc, d’Etiennette et de Cyprienne. Adieu la compagnie. A Cyprienne. Vous, qui avez été bonne, soyez heureuse. Je vous bénis. Adieu. À Rousseline. Au revoir.