Page:Hugo - Œuvres inédites, v. 3.djvu/355

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X. 
J’étais le songeur qui pense 
 107
XI. 
Mai 
 111
XII. 
La grecque et la parisienne 
 113
XIII. 
Elle vint que j’étais en train de lire Homère 
 115
XIV. 
Commencement d’une illusion 
 117
XV. 
Cela la désennuie ; elle vit toute seule 
 121
XVI. 
Ce que dit celle qui n’a pas parlé 
 123
XVII. 
La Figliola 
 127
XVIII. 
Amour secret 
 131
XIX. 
Oh ! dis, te souviens-tu de cet heureux dimanche 
 137
XX. 
Je suis naïf, toi cruelle 
 139
XXI. 
L’idylle de Floriane 
 141
XXII. 
Garde à jamais dans ta mémoire 
 151
XXIII. 
— Ah çà mais ! quelle idée as-tu, capricieuse 
 155
XXIV. 
A une immortelle 
 161
XXV. 
Horace, et toi, vieux La Fontaine 
 163
XXVI. 
A force de rêver et de voir dans la plaine 
 165
VII
I. 
La blanche Aminte 
 169
II. 
Le prince fainéant 
 177
III. 
Ce que Gemma pense d’Emma 
 173
IV. 
Vase de Chine 
 183
V. 
Mauvaises langues 
 185