Aller au contenu

Page:Hugo - L'Homme qui rit, 1869, tome 1.djvu/151

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ses deux mains, comme si le front était un point d’appui, et, hagard, les cheveux au vent, descendant la colline à grands pas, les yeux fermés, presque fantôme lui-même, il prit la fuite, laissant derrière lui ce tourment dans la nuit.