Page:Hugo - Légende des siècles, Hachette, 1920, 1e série, volume 1.djvu/395

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Ajoutant au bruit sourd de leur pas solennel La vague obscurité d’un voyage éternel, Ayant franchi les flots, les monts, les bois horribles, Ils venaient de si loin, qu’ils en étaient terribles ; Et ces grands chevaliers mêlaient à leurs blasons Toute l’immensité des sombres horizons.