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Les cimiers surprenants, tragiques, singuliers, Cauchemars entrevus dans le sommeil sans bornes, Sirènes aux seins nus, mélusines, licornes, Farouches bois de cerfs, aspics, alérions, Sur la rigidité des pâles morions, Semblent une forêt de monstres qui végète ; L’un penche en avant, l’autre en arrière se jette ; Tous ces êtres, dragons, cerbères orageux, Que le bronze et le rêve ont créés dans leurs jeux,