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Page:Hugo - Légende des siècles, Hachette, 1920, 1e série, volume 2.djvu/150

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D’une prodigieuse et ténébreuse orgie ;
C’est Final, mais Final vaincu, tombé, flétri ;
C’est un chant dans lequel semble se tordre un cri ;
Un gouffre où les lueurs de l’enfer sont voisines
Du rayonnement calme et joyeux des cuisines ;
Le triomphe de l’ombre, obscène, effronté, cru ;
Le souper de Satan dans un rêve apparu.

À l’angle de la cour, ainsi qu’un témoin sombre,
Un squelette de tour, formidable décombre,
Sur son faîte vermeil d’où s’enfuit le corbeau,