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Page:Hugo - Légende des siècles, Hachette, 1920, 1e série, volume 2.djvu/216

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» Ô ciel qu’il a quitté, rends-lui son âge d’or ! »

Le faune, interrompant son orageux essor,
Ouvrit d’abord un doigt, puis deux, puis un troisième,
Comme quelqu’un qui compte en même temps qu’il sème,
Et cria, sur le haut Olympe vénéré :

« Ô dieux, l’arbre est sacré, l’animal est sacré,