Page:Hugo - La Fin de Satan, 1886.djvu/98

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Et les mages, que Dieu dans le désert amène,
Collaient l’oreille au sable, et, de terreur ployés,
Frémissants, sous la terre, au-dessous de leurs pieds,
Ils entendaient quelqu’un dans les nuits éternelles
Qui volait, et frappait la voûte de ses ailes.