Page:Hugo - La Légende des siècles, 1e série, édition Hetzel, 1859, tome 2.djvu/134

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Moi qui ne brûlais rien que l’ombre en ma fournaise,
J’ai pensé que j’avais eu tort d’être bien aise ;
J’ai regardé de près le dieu de l’étranger,
Et j’ai dit : — Ce n’est pas la peine de changer. »