Page:Hugo - La Légende des siècles, 2e série, édition Hetzel, 1877, tome 2.djvu/261

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Je vis la Mort, je vis la Honte ; toutes deux
Marchaient au crépuscule au fond du bois hideux.

L’herbe informe était brune et d’un souffle agitée.

Et sur un cheval mort la Mort était montée ;