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LE POËTE AU VER DE TERRE.
Non, tu n’as pas tout, monstre ! et tu ne prends point l’âme.
Cette fleur n’a jamais subi ta bave infâme.
Tu peux détruire un monde et non souiller Caton.
Tu fais dire à Pyrrhon farouche : Que sait-on ?
Et c’est tout. Au-dessus de ton hideux carnage
Le prodigieux cœur du prophète surnage ;