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L'homme au front triste, aux mains blanches, Ne sait clouer que les planches De son cercueil. Quoi ! je serais si candide ! Porter sur mon dos splendide Votre wagon ! Dans mon azur sans limite Voir fumer votre marmite, Moi le dragon !
Quoi ! lui chez moi ! l'homme ! Il entre ! Sachez que devant mon antre, Qu'emplit la nuit, Le sage lion s'arrête, Et qu'en voyant ma tempête L'aigle s'enfuit !
Votre présence m'outrage. Dieu fit mon immense orage Mystérieux