_AC'PE ,1}] , SCENE, IV. h 1-51 Je m’étuis résigné, fanceptais mumisére. _ Les ple-urs, lfabjection profoude et uécessaire, . L’orgueil qui toujours saigne au fond du coeur brisé, _ Le rire du méprissur mes maux aiguisé , Oui , toutes douleu1·s_ou°Ia honte se méle, J ’en voulais bien pour moi, mon Dieu, mais non pour elle ! _ Plus j`étais.tombé bas, plus je Ia voulais haut. · U ll faut bien un autel aupres d’un échafaud. L’autel est renversé! — Cache toiifront, — oui, pleure; I _ Chere enfant! je` t’ai fail: trop parler touti Pheure, · · N’est·ce pas? pleure bieu.” ·-e Unepart desadouleurs . A ton. age, parfois, s’écoule aveclles pleurs. —— Verse tout, si tu peux, dans le coaur de_ton pére! U- Z nevam. I ‘ Th . ` Blanche, quand j’aurai fait ce qui me reste a faire, Nous quitterous Paris. —— Si j’échappe pourtant! q Bevan! toqjours. 4 _ _ ` V I Quoi , suffit-il d`un jour pour que tout` change tantl Serelevant avec furcur. ` ` ,I - ‘ · O malédictionl qui donc m’aurait pu dire 4 - .’ Que cette cour infame, effrénée, eu délire, Qui va, qui court,. broyant et Ia femme et l’enfant_, · _ Ecbappée a travers tout ce que Dieu défend , A N’effa<;ant un forfait que par uu plus étrange , Eparpillant auloin du sang et de Ia fange , _ lrait, jusque dans l’ombre ou tu fuyais leurs yeux , Eclabousser ce front chaste et religieux! _ q Scwurnant verslachambredu Boi. 4 i · ’ i 0 roi Francois premier I puisse Dieu qui m’éc0ute · · A
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