Page:Hugo - Le Roi s amuse.djvu/169

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' · ' ' "*"'*" ACTE lV, SCENE II. |63 Tu m’a¤ trés·fort battu, Neuni, c`est un progrés. Nenni, e’est un grand pas! —touj0urs elle recule! —Causons. — Lnbohtntmaemrapnmdse. Voila huitjours. — C`est 5 l`l1otel d’Hercule... —Qui m’avait mené Iii? mom Triboulet, je crois, — Que j`ai vu tes benux yeux pour lu premiere fois. Or, depuis ces huit jours, belle enfant, je t`ad0re, Je n'aime que toi seulel ntcvnoxxn. nm:. Et vingt autres encore! Monsieur, vous m’aves l‘air d’un libertin pnrfait! LB III, rintud. Oui, j`ai fait le mallieur dc plus d`une, en effet. (Test vrai , je suis un monstre! IIAGURLOINE. • Oh! le fat! O u noi. Je t’assure. (ja , tu m’ns ee matin mené dans ta mesure , Méchante hbtellerie ou I`on dine fort mal Avec du vin que fait ton frére, un animal Fort laid, et qui doit étre an drole bien faronche D'oser montrer son mullle in ooté de ta bouche. C’est égal , je pretends y paw cette unit. Ll; it rjly