DON ALPHONSE. U W .
Je sais fort bien‘qui vous étes, mais jesais aussi I ou’vous étes. Vous étes la fille du pape, mais vous n’étes pas aà Rome; vous étes la gouvernante de Spolette, mais vous n’étes pas à Spolette; vous étes la femme, la sujette et la servante d’Alphonse, ( duc de Ferrare, et vous étes à Ferrare !
Dona Lucrezia, toute pole de terreur et de oolére, regardetixemmt le duc etrecnle lentzmdnt donut lui, iusqu‘h uu huteuil ou elle vimt tomber commc hrinéc.
— Ah! cela vous étonne, vous avez peur de moi, ma1}ame,` jusqu’ici c’était moi qui avais peur del vous. J’entends qu’il en` soit aiinsi désormais, et pour commencer, voici le premier de vos amants sur lequel je mets la main, il mourra.
D0NA LUCREIIA, d’une vol; fable. .
Baisonnons un peu, don Alphonse. Si cet homme est celni qui a commis eq.vcrs moi le crime de lese=maje¤té, ilpe peut étre en meme temps mon 4 amant... ‘ v _ ‘
DON ALPHONSE.
Pourquoi non ? Dans un acces de dépit , de