Page:Hugo - Les Châtiments (Hetzel, 1880).djvu/152

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L’histoire à mes côtés met à nu ton épaule,
Tu dis : je ne sens rien ! et tu nous railles, drôle !
Ton rire sur mon nom gaîment vient écumer ;
Mais je tiens le fer rouge et vois ta chair fumer.


Jersey, août 1852.