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Puisque tout devant nous maintenant est la gloire
Ou la mort ;
Puisqu’en ce jour le sang ruisselle, les toits brûlent,
Jour sacré !
Puisque c’est le moment où les lâches reculent,
J’accourrai.
Et mon ambition, quand vient sur la frontière
L’étranger,
La voici : part aucune au pouvoir, part entière
Au danger.
Puisque ces ennemis, hier encor nos hôtes,
Sont chez nous,
J’irai, je me mettrai, France, devant tes fautes
À genoux !
J’insulterai leurs chants, leurs aigles noirs, leurs serres,
Leurs défis ;
Je te demanderai ma part de tes misères,
Moi ton fils.
Farouche, vénérant, sous leurs affronts infâmes,
Tes malheurs,