Aller au contenu

Page:Hugo - Les Misérables Tome II (1890).djvu/265

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


IV

LES REMARQUES DE LA PRINCIPALE LOCATAIRE

Jean Valjean avait la prudence de ne sortir jamais le jour. Tous les soirs, au crépuscule, il se promenait une heure ou deux, quelquefois seul, souvent avec Cosette, cherchant les contre-allées des boulevards les plus solitaires, et entrant dans les églises à la tombée de la nuit. Il allait volontiers à Saint-Médard qui est l’église la plus proche. Quand il n’emmenait pas Cosette, elle restait avec la vieille femme, mais c’était la joie de l’enfant de sortir avec le bon-