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Page:Hugo - Les Misérables Tome I (1890).djvu/271

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IX

FIN JOYEUSE DE LA JOIE

Les jeunes filles, restées seules, s’accoudèrent deux à deux sur l’appui des fenêtres, jasant, penchant leur tête et se parlant d’une croisée à l’autre.

Elles virent les jeunes gens sortir du cabaret Bombarda bras dessus, bras dessous ; ils se retournèrent, firent des signes en riant, et disparurent dans cette poudreuse cohue du dimanche qui envahit hebdomadairement les Champs-Élysées.