Page:Hugo - Les Misérables Tome V (1890).djvu/518

La bibliothèque libre.
Cette page n’est pas destinée à être corrigée.


LES MISÉRABLES





V

NUIT DERRIÈRE LAQUELLE IL Y A LE JOUR



Cosette et Marius tombèrent à genoux, éperdus, étouffés de larmes, chacun sur une des mains de Jean Valjean. Ces mains augustes ne remuaient plus.

Il était renversé en arrière, la lueur des deux chandeliers l’éclairait.

Sa face blanche regardait le ciel, il laissait Cosette et Marius couvrir ses mains de baisers,

Il était mort.

(Volume V. — Livre IX : Chapitre V.)