Page:Hugo - Lucrèce Borgia, Dessau, 1833.djvu/40

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Dona Lucrezia. Laquelle ?

Gubetta. C’est qu’il faut que la queue du diable lui soit soudée, chevillée et vissée à l’échine d’une façon bien triomphante pour qu’elle résiste à l’innombrable multitude de gens qui la tirent perpétuellement !

Dona Lucrezia. Tu ris à travers tout, Gubetta.

Gubetta. C’est une manière comme une autre.

Dona Lucrezia. Je crois que les voici. -songe à tout. Elle rentre dans le palais par la petite porte sous le balcon.

ACTE 1 PARTIE 2 SCENE 2

Gubetta, puis Gennaro, Maffio, Jeppo, Ascanio, don Apostolo, Oloferno.

Gubetta, seul. Qu’est-ce que c’est que ce Gennaro ? Et que diable en veut-elle faire ? Je ne sais pas tous les secrets de la dame, il s’en faut ; mais celui-ci pique ma curiosité. Ma foi, elle n’a pas eu de confiance en moi cette fois, il ne faut pas qu’elle s’imagine que je vais la servir dans cette oc