Page:Hugo - Ruy Blas, édition 1839.djvu/187

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La duègne disparaît ; la porte se referme.
Don César, seul.

Dans vos prières. Ah !Je me résous, ma foi,
À ne plus m’étonner. J’habite dans la lune.
Me voici maintenant une bonne fortune ;
Et je vais contenter mon cœur après ma faim.

Rêvant.

Tout cela me paraît bien beau. — Gare la fin.

La porte du fond se rouvre. Paraît don Guritan avec deux longues épées nues sous le bras.