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Page:Hugo Rhin Hetzel tome 2.djvu/84

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Cette voix, cette chanson, c’étaient la chanson et la voix du méchant nain Roulon.

Pécopin éperdu se jeta la face contre terre.

— Hélas ! s’écria-t-il, c’est fini, je ne reverrai jamais Bauldour.

— Si fait, dit quelqu’un près de lui.