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Page:Hugo Rhin Hetzel tome 3.djvu/11

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LETTRE XXVIII


HEIDELBERG

À M. LOUIS B.

L’auteur se fait des ennemis de tous les habitants de Mannheim. — Heidelberg. — L’auteur donne beaucoup d’explications sur lui-même. — La maison du chevalier de Saint-Georges. — Un verset de la bible protège mieux une maison contre l’incendie que la plaque de fer-blanc M. A. C. L. — Détails peu connus sur le siége de Heidelberg par les troupes de Louis XIV. — L’auteur dans la forêt. — Rêverie. — Énigme sculptée dans la muraille d’une masure. — Le chemin des philosophes. — Soleil couchant. — Passage. — Choses crépusculaires et mystérieuses qui commencent. — Nuit. — L’auteur au haut de la montagne. — Horrible fosse entrevue. — Aventure surnaturelle du buisson qui marche. — Heidenloch ! — Traces des païens partout sur les bords du Rhin. — Quelques-unes des visions du soir dans ces vallées. — Neckarteinach. — Les quatre châteaux. — Le Schwalbennest. — Légende de Bligger le Fléau. — L’auteur laisse éclater sa profonde admiration pour les contes de bonnes femmes. — Passage curieux de Buchanan sur Macbeth. — Ce que l’auteur écrit sur la porte du Schwalbennest. — Intérieur de la ruine. — Magnificences que l’auteur y trouve. — Le burg sans nom. — L’auteur y pénètre. — Le dedans d’une grosse tour. — Mystères. — Ce que l’auteur y voit et y entend d’effrayant à la nuit tombée. — Il se hâte de sortir du burg sans nom. — Le Neckar au crépuscule. — Le Petit-Geissberg. — Paysage qui raconte l’histoire. — Regard jeté sur les choses et sur les ombres. — Le château de Heidelberg. — Ce que c’était que le comte palatin. — Sens guelfe et factieux des inscriptions du palais d’Othon-Henri. — Les électeurs palatins avaient le goût des arts et des lettres. — Frédéric le Victorieux