Page:Hugo Rhin Hetzel tome 3.djvu/195

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qu’on veuille confronter avec la nôtre, les princes et les peuples n’ont valu ce qu’ils valent maintenant.

Qu’on ne cherche donc dans l’examen historique auquel il se livre ici aucune application blessante ni pour l’honneur des royautés ni pour la dignité des nations ; il n’y en a pas. C’est avant tout un travail philosophique et spéculatif. Ce sont des faits généraux, rien de plus. L’auteur n’a aucun fiel dans l’âme. Il attend candidement l’avenir serein de l’humanité. Il a espoir dans les princes ; il a foi dans les peuples.