Page:Hume - Essais, 1847.djvu/634

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bestiaux et celui du blé ; mais cet objet est trop connu pour que nous nous y arrêtions ici.

La conclusion qu’on peut tirer des résultats que nous avons trouvés, est que la France, dans l’état où est son agriculture, fournit assez de grains pour la consommation de ses habitants ; mais qu’en bestiaux, elle n’en fournit qu’un peu plus de la moitié de ce qui serait nécessaire pour que chaque habitant eût une ration de viande proportionnelle à celle des soldats.