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inteſtins, dont l’inanition ou la plenitude fait beaucoup au ſon.
Enfin, la troiſiéme cauſe de la différence du ſon eſt, ſans contredit, la vigueur & les forces du ſujet ; car, plus la nature eſt forte & vigoureuſe, plus le bruit du Pet eſt grand, & par consequent c’eſt de la diſſérence des cauſes que naît celles des ſons. On le prouve facilement par l’exemple des flûtes, des trompettes & des flageolets : une flûte épaiſſe & large, donne un ſon obſcur ; une flûte mince & étroite, en rend un clair, & une moyenne, en rend un mitoyen. Que quelqu’un qui a le vent bon