Page:Huysmans - Croquis parisiens.djvu/159

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qui se lève, aux fastidieuses occupations que chaque nouveau matin prépare.

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Telles les visions évoquées dans un album dédié à la gloire de Goya, par Odilon Redon, le Prince des mystérieux rêves, le Paysagiste des eaux souterraines et des déserts bouleversés de lave ; par Odilon Redon, l’Oculiste Comprachico de la face humaine, le subtil Lithographe de la Douleur, le Nécroman du crayon, égaré pour le plaisir de quelques aristocrates de l’art, dans le milieu démocratique du Paris moderne.