les familles du quartier, puis, en 1674, une délibération du conseil de fabrique prescrivit la fermeture de ces lieux.
Il était temps, car à force de ne pas les avoir réparés et surtout d’avoir surchargé les galeries de bàtisses destinées à loger les prêtres de la paroisse, tout s’effondrait ; des maçons en étayèrent tant bien que mal, les parties les moins faibles et, pour empêcher les autres de s’écrouler, ils les démolirent. Des bribes de ces corridors et de ces arceaux subsistent encore autour du jardin de la cure.
Ces charniers, dans lesquels on pénétrait par une porte s’ouvrant sur le flanc droit de l’église et par un passage rejoignant la rue de la Parcheminerie, servirent également pendant des siècles de chapelle de catéchisme, de salle de réunion du