Est-il utile d’ajouter que dans ce volume au cours duquel défilent les noms d’un grand nombre de célicoles, les
expressions « Saint et Sainteté », « Bienheureux et Vénérable », ne sont parfois employées que d’une manière relative et non dans le sens rigoureux que leur assignent les
décrets du pape Urbain VIII ; il n’y a donc pas à attribuer
une signification absolue à ces termes, lorsqu’ils s’appliquent à des personnages dont la béatification ou la canonisation n’ont pas été officiellement proclamées par les
pouvoirs sans appel de Rome. Il ne convient pas davantage de considérer ainsi que des saintes, dans l’acception
stricte du mot, les victimes expiatrices dont l’origine céleste des souffrances n’a pas encore été certifiée par l’Église.