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les figures du dernier cycle qui nous a précédés.
Ils sont les prototypes d’une civilisation arrivée à une puissance exagérée, à une science infinie.
Ils sont parvenus à connaître et à dominer, par leur génie, les énergies de la nature ; ils ont joui d’une liberté illimitée et ils en ont abusé.
Ils se sont cru des dieux et ils n’étaient que des hommes.
Ils n’ont pas compris que la fatalité, cette cause de toute ruine en ce monde, grandissait parallèlement à leur puissance et que la catastrophe que leur imprudence préparait sans le savoir, serait en raison directe de leur puissance. Ils croyaient étrein-