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LE PRÉSENT.




I.

Parmi les nombreux défauts qu’a ce livre, le plus grand, à mon avis, c’est d’être incompréhensible aux yeux de tous ; c’est là le défaut de toutes les prophéties qui, écrites à une époque, ne sont réalisables que longtemps après. Le milieu dans lequel elles tombent est si peu préparé pour les recevoir, qu’elles paraissent toujours absurdes aux esprits vulgaires. Si nous pouvions l’écrire dans cent ans d’ici, il perdrait certainement de son incom-