Page:Huzar - La fin du monde par la science, 1855.djvu/52

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XXIII.

Je me résume donc en quelques mots, et je conclus de tout ce qui précède :

Que l’instruction universellement répandue ;

Que la presse, cette renommée aux mille voix, qui sème partout l’idée comme le vent sème le pollen ;

Que les chemins de fer et les télégraphes électriques, ces traits d’union jetés entre les hommes ;

Que la science, cet oracle de l’avenir ;

Que la paix universelle, cet accord des volontés ;

Que l’unité de langue, cette algèbre universelle qui permet de résoudre les plus grands problèmes ;

Que l’unité politique et l’unité religieuse, cette conclusion de la raison ;

Sont les éléments d’une pile d’une puissance incalculable, la diffusion des lumiè-