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Soliloque d’un Ouvrier Tanneur

Paraît que l’ birbe aux guêtres blanches
Autrefois i’ f’sait dans les peaux...
À présent, i’ balad’ sa tranche,
I' sort jamais sans son tuyau,
I' croit tous les jours qu’ c’est Dimanche,
Ah ! i’ s’ les foul' pas, le chameau !

Faut croir’ qu’i' fait mieux ses affaires
À tanner l’ cuir des électeurs,
Mais, depuis qu’il a l’air prospère,
Pourquoi donc qu’i' fait tant l’ crâneur