dant est Seïf eddîn Althounthâch (pierre d’or), homme de mérite ; et son juge, Djémàl eddîn, fils de Chadjarah, un des disciples dlbn Ettaïmiyah.
Je voyageai ensuite vers la ville de Sahyoùn, qui est belle, pourvue de rivières considérables et d’arbres touffus. Elle possède un excellent château, et son commandant est connu sous le nom d’Elibrâhîmy ; son juge est Mohiy eddîn Elhimsy. A l’extérieur de la ville est une zàouïah située au milieu d’un jardin, et qui donne à manger à tout venant. Elle est près du tom])eau du pieux, du saint personnage Içà elbedaouy (le Bédouin ;, et j’ai visité ce sépulcre.
Je quittai cette ville, et je passai par le château de Kadmoûs, puis par celui de Mainakah, celui d’Ollaïkah, dont le nom se prononce comme le nom d’unité d’ollaïk (ronces), et celui de Misyàf, et enfin par le château de Cahf. Ces forts appartiennent à une population qu’on appelle Elismâï-