werlé — Je crois que vous avez raison.
madame sœrby, aux convives, qui se tiennent dans l’autre pièce. — Entrez, messieurs. Si quelqu’un veut un verre de punch, qu’il se donne la peine de venir ici.
le monsieur gras, s’approchant de Mme Sœrby. — Voyons, est-ce possible que vous ayez supprimé la sainte liberté de fumer ?
madame sœrby. — Oui, monsieur le chambellan, elle est proscrite dans les domaines de M. Werlé.
le monsieur chauve. — Et de quand date cette disposition draconienne, madame Sœrby ?
madame sœrby. — Du dernier dîner, monsieur le chambellan, où quelques personnes sont allées jusqu’à la licence.
le monsieur chauve. — Et l’on ne peut pas se permettre un tout petit peu de licence, madame Berthe ? Pas le moindre petit brin ?
madame sœrby. — En aucune façon, chambellan Ballé.
werlé, à Hialmar, qui se tient à l’écart, près d’une table. — Qu’étudiez-vous là, Ekdal ?
hialmar. — Un simple album, monsieur Werlé.
le monsieur chauve, qui se promène dans la