bien de ceux dont il représente les opinions ? Serais-je dans l’erreur ?
Son, non, non ! Le rédacteur Hovstad a raison !
Il m’en a coûté, et beaucoup, de rompre avec un homme dont j’ai été l’hôte assidu ces derniers temps, — avec un homme qui, jusqu’à ce jour, a été l’objet des sympathies générales de ses concitoyens, — avec un homme dont le seul, ou, en tout cas, le principal défaut est de consulter son cœur plutôt que sa tête.
C’est vrai ! Hourrah pour le Dr Stockmann !
Mais mes devoirs sociaux m’ont imposé cette rupture. Et puis il y a encore une considération qui me pousse à le combattre pour l’arrêter, si c’est possible, sur la voix fatale où il s’est engagé : je songe à sa famille…
Tenez-vous-en aux conduites et au cloaque !