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Page:Icy - Brassée de faits, 1926.djvu/199

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LA COUSINE JANE

Eh ! bien, elle la cousine de Jane, elle était la maîtresse de son patron. Du temps même de son mari, oui. Et il en avait fait, lui, le patron, la première de son atelier de plumassières, parce qu’il était passionné de flagellation. C’est lui qui l’avait dressée à fesser les arpètes. Avant elle, une contremaîtresse s’en chargeait, mais elle s’était établie à son compte. Jane qui la remplaçait, lui en fessait, dans son bureau, aussi souvent qu’il le désirait.

Elle s’y était mise sans effort, elle avait aimé cela aussi, c’est possible… Mais si elle en fessait tant et plus, rien que pour son plaisir personnel, c’est lui, tout de même, qui l’avait initiée !

Et voulez-vous que je vous dise toute ma façon de penser ? C’est comme cela avec toutes, allez ! Chaque fois que vous me parlerez d’une flagellante notoire, je vous répondrai : cherchez bien, vous trouverez un homme derrière !