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Page:Icy - Brassée de faits, 1926.djvu/50

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BRASSÉE DE FAITS

je l’avais relevée un peu en arrière et sa main s’engagea là où l’incitait à aller le fortuit retroussage.

Sitôt rentrées, vite au dodo. Il en est l’heure. Onze heures vingt-cinq.

Dans ma chambre, tapissée de claire cretonne de Jouy aux ramages bleus, un solde rapporté par papa, je me dévêts. Complètement, jusques et y compris ma feuille de vigne.

Je veux me voir nue dans la glace, de la tête aux pieds, et sous toutes mes faces. Du côté pile principalement. Est-ce vrai que j’ai de si belles fesses que cela ?

C’est bien vrai. Oh ! oui. Je me tourne, je les regarde dans la glace de l’armoire en pitchpin dont j’ouvre à demi la porte pour profiter de l’éclairage, lequel est fixe et que je ne puis ni diriger ni modifier.

De tous côtés, je les inspecte, je me tourne, je me retourne. Oui, elles sont jolies, impossible de m’en défendre. Du reste, on me le dit assez dans la rue. Ils ont raison, ces messieurs, je ne puis le nier : j’en ai une riche paire !

J’y touche, les prends comme Mary les a touchées, les a prises, les a pelotées. Ce n’était pas à nu tout le temps ; mais pour la fin, les dix dernières minutes, ce l’était bel et bien.

Car, lorsque sa main s’était glissée sous ma jupe, fourrageant, fourrageant, mes fesses qu’elle malaxait vigoureusement et qui croyaient en sentir le contact direct, tant est ultra mince mon pantalon, ne se doutaient pas que la ténuité de son tussor serait traitée en