Page:Imbert - Chansons choisies.djvu/205

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NOTES


Page 1reLes Bottes de Bastien. La vogue incompréhensible qui accueillit cette chanson à l’origine, les nombreuses imitations qui en ont été faites, les bruits auxquels elle a donné cours, et même les allusions politiques qu’on y a voulu découvrir, ne permettaient pas de l’omettre dans un recueil de chansons choisies.

Page 12. — Les Amis de la chanson. C’est le titre d’une société lyrique lyonnaise qui a bien voulu interpréter quelques-unes de mes œuvres : les Roses, la Neige, entre autres. On cite parmi les chansonniers lyonnais René Bidaud, François Grizard, Arthur Lamy, Favre, Célestin Gauthier.

Page 26. — Coléoptère. On a cru reconnaître dans ce personnage d’invention Théodore Pelloquet, journaliste et littérateur, mort fou à Nice en 1868. — Voir Littérature française de Staaff. M. Fauvel, cité dans le dernier couplet, est ce médecin que l’usage du laryngoscope a rendu célèbre.

Page 57. — Discours du trône. On n’oubliera jamais la lettre insolente par laquelle Louis Bonaparte, alors empereur, essaya de forcer la main au Corps législatif pour lui faire voter une dotation en faveur de M. Cousin-Montauban. On y lit : « Les nations dégénérées marchandent seules la reconnaissance publique. » Grandis epistola !