Quelle impression ?… Je pleure et sanglote… Tout seul.
Un temps. Et puis
téléphone sonne
— « Allô ! Établissements Joël Joze ?…
« Ah ! c’est vous Gilly ? C’est moi Martel. Nous sommes en panne ! Qu’est-ce qui se passe donc chez vous, au Kaleido ? »
Il faut dire que, ce qui fut le Kaléidoscope, était construit par M. Joze sur un principe essentiel : Au début de ses expériences, mon Maître avait capté certains fluides qui réglaient sa mise au point. Ondes magnétiques, retenues savamment dans le Kaléidoscope-propulseur. Lequel ne quittait pas notre Laboratoire. Son impulsion unique gouvernait, sans fil, tous nos appareils, dans tous nos établissements du monde entier. — Sans Kaleido rue Bélidor, nulle représentation. Nulle part.