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Page:Irene-hillel-erlanger-voyages en kaleidoscope-1919.djvu/175

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Fluides magnétiques mêlés à des courants à des torrents d’électricité

craquement catastrophal

Nuit

cent mille vitres en éclats

maisons s’écroulent

. . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . .

Cette grande catastrophe

ce n’est pas loin

on se rappelle

4 heures le quartier flambe. Jusqu’à la Concorde

impossible de maîtriser ce

Feu

qui gagne et gagne…

. . . . . . . . . . . .

il parut enfin s’abolir lui-même