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Page:Irene-hillel-erlanger-voyages en kaleidoscope-1919.djvu/47

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quelle forte pince d’argent

(sans y penser)

cueillir

ceci cela dans les vitrines

 (ainsi j’ai vu le Froid, les Rues, et les Maisons et les Passants)

. . . . . . . . . . .

Ceux qui n’ont pas de chance. Miséreux. Tous ne portent pas la livrée de haillons. Mais le cœur mort, le visage ravagé du Haut-Mal moral — viennent là ; parce qu’ils sentent, confusément, qu’il leur faut — comme aux piles polarisées — des éléments nouveaux.

Ils rôdent autour des Zônes de Lumière. — « Peut-être retrouverons-nous le fluide bénéfique ? La force heureuse ? Le filon ?…

c’est pourquoi se mêlent aux chercheurs