Page:Irving - Le Livre d’esquisses, traduction Lefebvre, 1862.djvu/10

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présentés à mon esprit avec le sens que mes savantes veilles m’ont mis à même d’y attacher, je l’avouerai, peut-être aurais-je essayé d’expliquer ce qui fait le charme de la prose d’Irving, cherché l’homme dans l’écrivain. Mais j’ai considéré qu’il n’était pas séant que, lorsqu’on est venu pour voir Irving, je fisse, alors qu’il y est, faire antichambre à cette seule fin que je pusse chanter ses louanges, car je n’ai que du bien à en dire…, d’autant plus que mon témoignage serait toujours un tant soit peu suspect. Les visiteurs me permettront donc de les introduire silencieusement dans le cabinet de mon patron.