Page:Isaac Newton - Optique, 1787.djvu/148

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spSrallèle ^u tifôû'jf eiifûïte trànfmettez la partie blanche du fàifëeaù éipéïgënt; par un trou obîosg H j' parallèle au premier ,& d'un quart -de ligne de hauteur, faitdans un diaphragme de carton noir placé à troiss pieds îdu- prifme fenfii* à làt diftancè- de- qaiëlqùes pieds recevez •fur un papier 'blanc ^pey les rayons trânfmis. S'ils y peignent les couleurs prifmariques, le tougc en ttle jaune en s, le vertenr,le bieu en qy & le violet en p on pourra, avec un fil d'archal ou tout autre, corps mince & opaque, intercepter les rayons en kij lt;m9 ny OU' o$ 8c faire à volonté difparoître en f

  • jr>.?> ou P telle & telle -couleur. iAvee un

corps un peu plus gros,- on pourrai intercepter deux, trois, quatre couleurs â la fois. Ainfi, chacune poursa confiner .d'un côté à l'ombre, y .c omme font le viplet & le rouge j &chaejunév réfiànt feule pourra ajême <y confiner désdeux côtés.. -Les couleurs: fouffrent donc indiftinde- ment les confinsde:riombrei ;fans ts'akéxer Mencjës con, .u~ .r!.IJmn !;e;I.l1ps,/}s a rc:req elles riefont doiîcpas: desnmQdifieatibns.ide laiilnrriièfè produites, par ces confins:, comme certains Philofoplies le veulent. r> '• < .;r.ÀQ furplus l'Expérience réuffira -d'autant